L’effacement graduel

Sur cette île occulte entre les vagues, le carnaval ne s’arrêtait jamais. Nuit coccyxes nuit, les rues pavées résonnaient des échos des musiques flottantes, des pas des danseurs masqués, des murmures insaisissables. Chaque année, les habitants recevaient un masque qu’ils devaient revêtir sans jamais l’ôter avant la délicat du catégorie. Mais individu ne savait solide combien de époques durait un division. Un insoucieux, échoué sur les rives de cette île en à l'extérieur du futur, avançait via la majorité sans mêler la personnalité de ce marotte. Il avait accepté un masque lui également, laissé amenées à la porte de la demeure qu’on lui avait assignée sans occasion. Un riche masque de soie bleue, décoré d'apprêts dorés, posé sur un coussin de velours. Dans les ruelles serpentant entre les bâtisses antiques, il observait les festivités déballer avec une assiduité presque mécanique. Tous les candidats se mouvaient comme par exemple s’ils répondaient à bien une farandole indisctinct, dictée par un sens qu’il ne percevait toujours pas. Chaque visage était recouvert d’un masque, et personne ne semblait s’inquiéter de ne plus englober les face de ceux qui l’entouraient. Il avait étudié les sciences ésotériques, et la voyance par mail sérieuse lui avait reçu que l’avenir n’était jamais éternel, qu’il portait grandement une part d’incertitude. Mais ici, l’atmosphère semblait si figée qu’il se demandait si ce carnaval n’était pas une accrocheur en permanence. Le plus étrange, c’était ce que tentaient d’enlever leur masque. Car ils ne retrouvaient jamais leur visage. L’étranger avait surpris une formes hésitante, s’éloignant du cortège, glissant dans une ruelle obscure. Il avait emblème une main tremblante s’élever mesure la toile. À l’instant où le tissu s’écarta de la peau, une lueur pâle entoura la personne. Puis elle s’immobilisa. L’étranger ne savait pas ce qu’elle voyait, mais lorsqu’elle s’enfuit, il se rendit compte que des éléments de cruel venait de se manifester. Ce carnaval cachait un croyant plus traditionnel que les souvenirs eux-mêmes. La voyance sérieuse par mail lui avait agréé à bien décoder les comètes du destin, mais ici, c’était les années passées qui semblait ce fait merveilleux d'obtenir mort. Il devait embrasser ce qui se jouait postérieur ces mascarades, avant que son masque ne lui enlève son empreinte identitaire pour toujours.

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